Hogar La Salle cumple 10 años cubriendo necesidades de niños y jóvenes

El Hogar de Emancipación, el Centro de Día y el Proyecto Amal, sus tres ejes principales

 

El Hogar La Salle surge, fruto de las inquietudes de un grupo de jóvenes del Buen Pastor y la colaboración de hermanos de La Salle, en el año 2008. Abrieron sus puertas, en el mismo lugar en el que anteriormente realizaron obras sociales las Hermanas Solatas, en avenida Duque de Abrantes número 17 de Jerez de la Frontera.

El hermano Juan Bautista, director de la Asociación Hogar La Salle, subraya que “es una obra de seglares y religiosos”, “nuestro trabajo se centra en las personas en riesgo de exclusión social independientemente de su edad, lugar de nacimiento o procedencia, nacionalidad o credo”.

El Hogar La Salle se divide en tres grandes proyectos. El primero de ellos es el Hogar de Emancipación, del que actualmente se benefician 12 jóvenes inmigrantes. Se trata de un lugar de acogida, acompañamiento y promoción para estos jóvenes inmigrantes –entre 18 y 20 años- que necesitan, voluntariamente, una oportunidad para su formación personal y un espacio propicio para su aprendizaje que le ayuden en su emancipación, tanto para su integración social como para su  inserción laboral.

Por la mañana y por la tarde, entra en funcionamiento el Centro de Día, el segundo de los programas de Hogar La Salle. “Aunque coincide en el mismo lugar, que con el Hogar de Emancipación, son proyectos distintos” apunta el director. “En el origen se creó para acoger a adolescentes en situación de riesgo y conflicto social… , no podemos quedarnos ajenos a las necesidades que también existen en Jerez. Por lo que nos ponemos en contacto con los Servicios Sociales y con Cáritas de la zona norte, que nos derivan usuarios para nuestros talleres”, remarca el director.

Entre las finalidades del Centro de Día se encuentran: potenciar la educación integral de los niños, los adolescentes y los jóvenes; retomar el itinerario y la formación educativa; potenciar el desarrollo humano y social; la orientación para el acceso laboral; reforzar a los alumnos (niños, adolescentes y jóvenes) con dificultades de aprendizaje y riesgo de exclusión y/o abandono escolar. Para ello, Hogar La Salle dispone de diferentes talleres (peluquería, estética, corte y confesión, educación vial, electricidad, informática, de formación básica para la alfabetización y sacar por libre el graduado escolar…).

“Las personas participantes en los talleres las derivan de Cáritas”, relata el hermano Juan Bautista, quien añade además que “los cursos tienen mucha acogida, sirven para promocionar a la gente. Los talleres no funcionan sin voluntarios. Si no hay voluntario de peluquería no hay taller de peluquería. Por las tardes damos clases de refuerzos a unos veinte y tantos niños desde primero a sesto, chicos que necesitan una atención muy especializada. A más voluntarios menos desbordados estarán los profesores, mejor se podrá atender a los chicos y se aprovecha mejor el tiempo. Estos chicos vienen de 5 a 7 de la tarde. De 5 a 6 y media están estudiando y a las 6 y media se les da de merendar (que en más de una ocasión es la última comida que realizan en el día), además de contar con su cancha para jugar, su futbolín…”.

El tercer programa es el Proyecto Amal, que comenzó a funcionar en mayo de 2010 cuando uno de los jóvenes que habían pasado por el Hogar ingresó en la cárcel. Tras ver la realidad de los jóvenes inmigrantes ingresados en el centro penitenciario, “se plantea intervenir con esta realidad para lo que se decide realizar un estudio de la situación jurídica de los mismos y analizar cómo se puede intervenir desde el ámbito de extranjería”.

La asociación Hogar La Salle la forman la comunidad mixta de 12 hermanos de La Salle y seglares, 9 profesionales y cerca de 50 voluntarios que hacen posible que este proyecto sea hoy uno de los grandes recursos sociales de la ciudad. “Lo que más nos preocupa es la autofinanciación, mediante donativos o ayudas económicas, que nos diera la posibilidad de por un lado contratar a un profesional desempleado para que imparta un taller profesional”.

 

La adolescencia, en corto

Tienen 14 años y las cosas muy claras. A pesar de estar sumidos en plena adolescencia, los jóvenes Núria Pinillos, Marilén Cerdà y Simó Joan Lliteres, alumnos del colegio La Salle Manacor, han analizado todo lo que sienten para crear Teenagers, un cortometraje que pone un poco de luz sobre esta etapa de la vida.

Los tres adolescentes son integrantes del Grup Avança del colegio, un equipo de trabajo cooperativo formado por los alumnos con mejor expediente que busca aumentar sus conocimientos. Esta obra audiovisual es uno de los proyectos del grupo.


 


130 ans du Collège De La Salle à Thessalonique

Thessalonique : Samedi, 3 février 2018. Dans la salle des fêtes du Collège DE LA SALLE à Thessalonique, toute la famille lasallienne a célébré les 130 ans d’un cheminement réussi du Collège. Le Collège DE LA SALLE est une institution à but non lucratif, qui appartient au réseau éducatif international LA SALLE. Il fonctionne depuis 1888, en offrant instruction et une véritable éducation aux élèves à partir du jardin d’enfants jusqu’au lycée.

C’est toute l’histoire du Collège DE LA SALLE qu’on a pu se remémorer par le biais d’une impressionnante exposition de photos, par un exposé sur l’histoire du Collège, par des interventions et des présentations émouvantes, qui ont marqué de façon décisive la longue évolution du plus ancien établissement de la ville.

Un grand nombre d’invités ont honoré par leur présence la manifestation : le Frère Robert Schieler, Supérieur Général des Frères des Écoles Chrétiennes, le Frère Aidan Kilty, Conseiller Général, le Frère Visiteur de France, Jean-Paul Aleth, Mgr Jean Spitéris, archevêque Catholique de Corfou, le Père Basile Milios, représentant du Métropolite de Néapolis-Stavroupolis, Mgr Varnavas, les Frères Grecs et les cadres de direction des écoles lasalliennes de Grèce, ainsi que beaucoup d’autres invités, représentant les hommes politiques, le monde de l’éducation et de la culture, et aussi des parents, des anciens élèves et des élèves du Collège.

Le groupe de volontariat, ainsi que la chorale et l’orchestre du Collège DE LA SALLE ont brillé par leur participation, en clôturant d’une manière impressionnante la manifestation et provoquant des applaudissements chaleureux.

130 ans du Collège DE LA SALLE, 130 ans de formation et d’éducation véritable, 130 ans d’évolution et d’innovation, 130 ans de service !

Le lendemain, le dimanche 4 février, les quatre Frères Grecs et les membres du Conseil de l’Éducation Lasallienne de Grèce ont eu l’occasion de se rencontrer avec le Supérieur Général de l’Institut des Frères des Écoles Chrétiennes, son conseiller, le Frère Aïdan et le Frère Visiteur de France pour renforcer la connaissance mutuelle et pour échanger sur les œuvres lasalliennes en Grèce.

La présence et la parole du Frère Supérieur, du Frère Aïdan et du Frère Jean-Paul Aleth ont été très réconfortantes pour les Laïcs, responsables de la mission et chefs d’établissement des quatre écoles lasalliennes de Grèce, qui continuent avec les Frères leur œuvre réussie dans notre pays et qui sont prêts à répondre aux appels et aux défis de notre temps, afin que la mission se pérennise et porte des fruits au profit des enfants et des jeunes qui fréquentent les écoles lasalliennes de Grèce.

Sophia Paschaloudi

5 JOURS DE RETRAITE POUR LES RESPONSABLES NATIONAUX DU RÉSEAU

La retraite annuelle des Frères Visiteurs, des directeurs de pôles, des délégués de tutelle du réseau La Salle France s’est déroulée du 5 au 9 février dernier au couvent des Soeurs de Jésus à Vaylats dans le Lot (46).

Quel privilège pour les équipes en responsabilités de vivre une semaine en immersion avec le Christ et se laisser pénétrer de sa fine voix dans le silence du couvent recouvert d’un manteau de neige.

Une purification extérieure et intérieure, l’endroit idéal pour dépoussiérer nos âmes et oser la rencontre avec le Christ puis avec nous mêmes dans un unique but, se présenter meilleur à l’Autre. Selon notre intervenant Monseigneur Camiade (évêque de Cahors) « L’Autre est un don pour moi ! » sujet central de son élocution sur la thématique de l’Unité. Difficile de se persuader de cette affirmation au quotidien, dans un monde où se côtoient la compétition, la jalousie, le narcissisme sommes nous toujours prédisposés à laisser une place pour son frère ? Ce n’est pas si évident que cela toutefois l’évêque nous a confié une clé, celle de rentrer dans un projet par la communion.

Par le baptême nous avons reçu le don de la Trinité, le passage par la Croix nous amène à vivre des moments de tension et de purification, nous devons l’accepter et travailler pour trouver en son prochain le meilleur qui nous permettra de grandir et murir nos projets professionnels. Cela passe par le dialogue, l’échange sincère en considérant la parole de toutes les personnes qui oeuvrent à nos côtés et ce quelque soit les niveaux de responsabilité. Comme dans tout ouvrage nous sommes des poseurs de pierre et dans la complexité de nos différences nous avons ce dénominateur commun de construire le jeune. Pour le Frère Visiteur de France Jean-Paul Aleth, dans chaque rencontre il y a la présence du Christ et notre vie s’accomplit à la manière de Dieu, c’est un peu Jésus qui s’approche des adultes et des enfants. La présence de l’Autre est par définition une bonne nouvelle. A nous d’avoir une disponibilité d’esprit dans la pratique de l’altérité. Cette retraite est une fois de plus l’occasion de « s’heureux » trouver mais aussi de conscientiser nos faiblesses et nos peurs d’oser la rencontre avec soi-même.

Lionel Fauthoux

[Rumanía] Muere hermano que fue protagonista de una época dolorosa

[Rumanía] Muere hermano que fue protagonista de una época dolorosa 

La historia de los Hermanos de La Salle en el mundo está unida a la historia de los lugares en los cuales viven su consagración a Dios y su servicio a la humanidad. Es por ello que hoy destacamos la vida del Hermano Marcelin (Victor Magui), quien falleció en Rumanía el pasado 22 de enero a los 95 años de edad.

Él, junto con otros de sus hermanos y no pocos religiosos y sacerdotes, vivió algunos años en régimen carcelario y en campos de trabajos forzados en su país y hasta la fecha de su muerte era el último hermano superviviente de esta dolorosa historia.

En tiempos del régimen comunista fue privado de libertad en dos ocasiones: la primera entre los años 1950-1952 siendo obligado a realizar trabajos forzados en la construcción del canal Danubio-Mar Negro y en la presa de Bicaz y la segunda entre los años 1959-1964 cuando fue deportado a la región inhóspita de Baragan (sureste de Rumanía) donde fue sometido a domicilio obligatorio en la localidad de Viisoara (Ialomita)

Luego de la amnistía general de 1964 a los condenados como presos políticos, el Hermano Marcelin pudo regresar a Bucarest donde su trabajo fue el de organista y su actividad pastoral la catequesis en la parroquia romano-católica de Popeşti-Leordeni hasta el año 1983 en el que solicitó jubilarse.

Tras la caída del comunismo, y a petición del Obispo greco-católico de Oradea, se integró en la comunidad creada en esa localidad, donde trabajó en el internado hasta que en el año 2000 dicha comunidad fue cerrada y los tres Hermanos que la componían se trasladaron a Moldavia y se integraron en las comunidades de Iasi y Pildesti.

Su vida llena de música, catequesis y amor por su país, unida a la de cientos de Hermanos y lasallistas del mundo, son claros ejemplos de amor a Dios y a la humanidad incluso en aquellos momentos dolorosos de las naciones.

Hermanos de las Escuelas Cristianas – Rumanía
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